Tuer systématiquement les renards, c’est comme tuer les abeilles ou les vers de terre. Ni les uns ni les autres ne se mangent, cette activité va à contresens, et elle est même contre-productive pour les chasseurs ! Sauf si le projet est de les exterminer, comme certains le réclament pour les loups, la loi est […]
Le bleuet est indissociable du bleu comme le rose de la rose ou le violet de la violette. Et pour le découvrir, quelle meilleure entrée que de commencer par sa couleur, ce bleu qui attire notre œil comme celui des pollinisateurs ! Texte extrait d’un livre de Sylvie Corré : ISBN 978-2953948943 – 2017, le
« Les vers plats, carnivores et invasifs, menacent la France… Ce sont clairement des aliens ! » Voilà ce qu’on pouvait lire dernièrement sur les réseaux sociaux (source). Plus d’un million de vues et quelques dizaines de messages reçus pour me demander ce que j’en pense. Je comprends la tentation d’enchérir sans cesse pour transformer
Dans un lombrifiltre, le filtre n’est pas le ver de terre, mais l’arbre ! Pas l’arbre sur pied à l’image du roseau filtrant l’eau usée en phytoépuration, non, le filtre, c’est l’arbre déchiqueté à grand renfort d’énergies fossiles ! L’image est moins flatteuse, j’en conviens, même si le système reste l’un des plus économes en énergie !!! Désolé
Par conservation naturelle, entendez le fait de ne pas utiliser d’énergie (comme la congélation ou la stérilisation) et d’intrants tels que l’huile, le vinaigre ou le sel. Bien entendu, l’idéal serait de laisser les légumes dans le sol pour les consommer au fur et à mesure, mais personne ne peut prédire si l’hiver sera froid,
Quasiment deux études publiées chaque semaine depuis 1974, un record mondial. Source Web of Science. Et bien qu’aux premières loges, seulement une soixantaine se sont penchées sur les effets du glyphosate sur les vers de terre, c’est très peu. L’une des plus récentes, dirigée par Céline Pelosi, directrice de recherche à l’INRAE d’Avignon et écotoxicologue,
Le succès du premier Éloge du ver de terre (Flammarion, 2018) reposait sur un dialogue entre un ver de terre et son auteur. Le manuscrit avait donné quelques sueurs froides à l’éditeur, mais aucune forme de dinguerie n’avait été pour autant relevée par les lecteurs, seulement une astuce pédagogique visant à rendre la lecture plus
C’est la question à laquelle nous avons répondu dans une tribune publiée le 12 octobre 2023 dans Le Monde. Rédigée sous la direction de Céline Pelosi, directrice de recherche à l’Inrae d’Avignon, écologue, écotoxicologue des sols et géodrilologue, en collaboration avec Marcel B. Bouché, ancien directeur de recherche à l’Inrae de Montpellier, écologue, épistémologue et
Il y a les grandes régions viticoles, le Limousin n’en a jamais fait partie, et encore moins la Haute-Vienne. D’ailleurs, il ne m’aurait jamais traversé l’esprit de produire du vin dans les monts d’Ambazac avant cette année. Or, avec le réchauffement climatique et les hivers plus doux, le raisin est excellent et les rendements incroyables.
Des vers de terre qui grimpent dans les arbres pour se nourrir de matière organique morte : j’en avais déjà parlé en 2020 dans Sauver le ver de terre, mon second livre consacré à ces animaux. Cette semaine, The Conversation a publié l’article de 2 chercheurs ayant travaillé sur le sujet. Comment grimpent-ils ? Ils
