Actualité

Cultiver sans apport de fumier : est-ce fertile ? Durable ? Oui, mais…

Les raisons pour lesquelles on souhaite cultiver sans apport de fumier peuvent être purement pratiques, on n’en a pas… ou bien spirituelles ou idéologiques, comme dans le cas du véganisme, du végétarisme ou du jaïnisme. Est-il fertile de cultiver sans apport d’engrais d’origine animale ? Je vais répondre à cette question, car on me la […]

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L’urine humaine comme engrais est interdite en agriculture biologique

Interdite en agriculture biologique, notre urine comme engrais est pourtant autorisée en agriculture conventionnelle ! Va comprendre. L’urgence serait donc de faire changer la loi, qui, une fois de plus… Mais, à ma grande surprise, comme pour les vers de terre, j’ai aussi découvert que nos déjections « souffraient » d’inexistence juridique. Concrètement, ce ne sont pas

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Mon nouveau livre est déjà un succès médiatique, fini les tabous sur nos pipis et cacas !

Une semaine après la sortie de « Ne tirons plus la chasse« , mon dernier-né, le 30 janvier, je me suis retrouvé sur le plateau de « 28 minutes » sur ARTE ! Auparavant, BRUT avait publié un reportage qui a dépassé le million de vues en deux jours ; et l’un de nos plus célèbres jardiniers, Xavier Mathias,

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Nos déjections comme engrais au jardin : conseils pratiques et législation

Notre corps est une usine à engrais : il en produit une demi-tonne par an. Les aliments rentrent par un bout pour ressortir par l’autre en chaos : en pipi, caca, sueur, crachats, pets et rots. C’est le système nutritionnel universel : les déjections des uns sont la nourriture des autres. Le bon sens paysan voudrait

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L’humus, notre grenier à blé, une disparition silencieuse

L’humus est cette fine couche supérieure du sol, les 15 premiers centimètres, où la vie souterraine se concentre et transforme la matière organique en engrais naturel pour les plantes. C’est l’habitat des racines, des vers de terre et des microbes, l’intestin des plantes, le berceau de notre civilisation. Et si l’humus est clairement défini d’un

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Vers de terre, bilan de l’année 2024 : le déclin se poursuit, l’espoir s’éloigne

En résumé, la situation des vers de terre continue de se dégrader en France, malgré une popularité sans précédent. Par ailleurs, nos lois continuent d’organiser leur disparition. Et cerise sur le gâteau, ma lettre du 30 octobre adressée à Madame la ministre de l’Agriculture est restée sans réponse. Son objet : La France persiste à

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L’environnement est privatif et non collectif, il appartient à celui qui le possède

Tel est le sens de nos lois, car elles sont encadrées, depuis 1804, par l’article 544 du Code civil. Or, le 544 n’a pas été écrit pour préserver la planète ou la biodiversité, ni écrit au nom de l’égalité ou du vivre-ensemble, mais pour servir les intérêts de ceux qui voulaient restaurer leurs privilèges perdus

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L’invisible complexité du vivant : un oiseau ou un ver de terre, ça n’existe pas en tant que tel

Un oiseau, un ver de terre ou un mammifère est bien plus que le tiroir dans lequel nous l’avons rangé. Au 16e siècle, stupéfiant, l’abeille, le ver de terre et le rat étaient regroupés dans le même, tout au moins en Occident, celui où l’on rangeait la ver-mine ! À l’exception de quelques classificateurs aveuglés

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