Lombricologie

Des vers de terre et des vaches, une symbiose et un ennemi commun : les fermes-usines

Il y a l’image d’Épinal d’un Limousin avec ses limousines broutant paisiblement dans les prés, et il y a la réalité, un peu moins bucolique, avec un système qui broie les éleveurs et leurs bêtes pour les remplacer par des unités industrielles. Des fermes qui disparaissent et du maïs qui remplace les prés, le bétail

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Le ver de terre jardinier

Nous ne sauverons pas les arbres et les forêts sans commencer par sauver l’habitat des vers de terre. Mais nous ne sauverons pas les vers de terre sans combattre l’idée qui place l’humain en dehors de la forêt et du règne animal… 😉 N’écoutons pas ces scientifiques qui répètent comme des perroquets le discours des

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Du sang coule dans les veines du ver de terre, et ce n’est pas le sang de la terre

Ce lombric terrestre a été tué par un oiseau. D’un coup de bec près de la tête, le sang coulait quand je l’ai trouvé. C’est sûrement l’œuvre d’un rouge-gorge qui, surpris, a abandonné sa proie. Un merle l’aurait emporté tel quel, mais vu le poids, le rouge-gorge est obligé de le découper sur place pour

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Christophe Gatineau, l’avocat des vers de terre… celui qui porte leur parole, des nouvelles du front

« Miroir, ô mon beau miroir, dis-moi qui est le plus… » Non, je n’ai pas sombré dans l’idolâtrie de moi-même, que le ver de terre m’en protège ! Juste un coup de projecteur sur mon travail, et, par écho, sur eux. « L’homme qui parle au nom des vers de terre », AFP ; « L’avocat des vers de

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Le ver de terre est aussi vif qu’un chat pour échapper à ses prédateurs : la preuve en images

En 2018, je l’avais comparé à un élastique qui se détend dans mon premier Éloge du ver de terre. Mais attention, ce comportement est spécifique au seul lombric terrestre, Lumbricus terrestris, une espèce facilement reconnaissable à son cul plat comme une queue de castor. Sauf que chez le castor, l’anus se trouve avant la queue…

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